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ARTICLES Maxime Perriot
29 octobre 2014

ATP Bâle Valence Federer ne s'arrête plus, fin de saison pour Nadal

Federer ne s'arrête plus, fin de saison pour Nadal 

Roger Federer s'est de nouveau imposé chez lui à Bâle face à David Goffin. Le jeune Belge a mis fin beau parcours de Boria Coric, dix-sept ans. Ce dernier s'est hissé jusqu'aux demi-finales grâce à un beau succès contre un Rafael Nadal méconnaissable qui a mis fin à sa saison. Du côté de Valence, Andy Murray a une nouvelle fois battu Tommy Robredo en finale. 
 
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Ne parlez pas encore de Coupe Davis à Roger Federer. À l'inverse de Tsonga et Monfils qui ont allegé leur programme afin de préparer au mieux la finale Lilloise, Federer joue (et gagne) tous les tournois inscrits à son calendrier. À Bâle, le Suisse a décroché le titre pour la sixième fois. Après avoir écarté Dimitrov en quarts (7-6, 6-2), il a dû batailler pour rallier l'ultime stade de la compétition contre Ivo Karlovic (7-6, 3-6, 6-3). La finale, en revanche, a été expédiée par le Bâlois, vainqueur 6-2, 6-2 d'un David Goffin dépassé. Le Belge a sans doute payé ses deux combats en quarts face à Raonic (6-7, 6-3, 6-4) puis en demies face au très jeune Croate Coric (6-4, 3-6, 6-3). Ce dernier s'est révélé aux yeux du grand public au cours de cette semaine Bâloise. Il a d'abord battu Gulbis avant se réaliser un bel exploit face à Rafael Nadal en quarts de finale. Même si le Majorquin était méconnaissable à cause d'une appendicite dont il se fera opérer la semaine prochaine, Coric a su rester solide tout au long du match. Nadal a donc mis fin à une saison 2014 en demi-teinte. Il espère retrouver la pleine possession de ses moyens dès l'Open d'Australie.
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À Valence, l'histoire s'est répétée pour Tommy Robredo. L'Espagnol a une nouvelle fois subi la loi d'Andy Murray après une rencontre épique (3-6, 7-6, 7-6). Comme à Shenzhen un mois plus tôt, Robredo s'est procuré cinq balles de match avant de craquer sur la troisième opportunité adverse. Murray a presque validé sa participation aux Masters de Londres grâce à une belle fin de saison. Il a démontré en Espagne qu'il se rapprochait à grands pas de son meilleur niveau. Sa victoire en demi-finale face à David Ferrer a une nouvelle fois prouvé sa solidité.
Robredo a bénéficié d'une partie de tableau plus abordable. Il a dû se défaire de John Isner au premier tour ou encore de Chardy en demi-finale (7-6, 7-6). Belle semaine pour le Palois, notamment vainqueur 3-6, 7-6, 7-5 de Dogopolov au deuxième tour.
Maxime Perriot
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